Après l’ouverture officielle des activités du plus grand évènement culturel mondial de l’année, «  Conakry Capitale Mondiale du Livre 2017 » ce Samedi 23 avril, par le Président de la République Professeur  Alpha CONDE, l’heure est à la dédicace des œuvres littéraires. En ce 2e jour de cet évènement mondial, le journaliste, ancien ministre de la communication et actuel vice- Président de l’Institution Nationale Indépendante des Droits Humains (INIDH) a dévoilé le contenu de son livre qui a pour titre, « Je m’appelle Conakry ». Cette  dédicace s’est déroulée devant de nombreux invités, au centre culturel Franco-guinée.

« Je m’appelle Conakry, parce que j’ai été choisi pour devenir la Capitale mondiale du livre en 2017 », insiste l’auteur qui a décidé de se glisser dans la peau de la capitale guinéenne pour la donner une âme, et une bouche.  

Conakry parle au présent, « c’est moi Conakry qui vous parlent maintenant que j’ai été choisi pour devenir capitale mondiale du livre. Je vous parle de l’histoire, de l’histoire même de mon nom, je vous parle même des premiers étrangers qui sont arrivés, je vous parle des infrastructures, je vous parle de mes mines parce que j’ai été aussi une zone minière.» Voici la première partie de ce livre ce qu’on peut appeler le premier champ selon Boubacar Yacine DIALLO.

Le deuxième champ, est le témoignage d’une enseignante belge qui était venue pour aider lorsque les français avaient quitté le pays.  « Je lui aie demandé d’écrire ce souvenir et elle a fait », explique le journaliste et écrivain, avant de préciser : « c’est n’est qu’une première édition, dans la deuxième édition qui va suivre, il y aura beaucoup de photos et beaucoup d’autres  récits, souvenirs et mémoires. »

Pour Boubacar Yacine Diallo son objectif est  de contribuer au succès de Conakry, capitale mondiale du livre. La deuxième chose est de réveiller tout ce qui  détiennent des informations, des récits, des temoignages, de leurs arrières grands parents, de leurs parents parce que c’est de l’oralité pour que ces témoignages sortent. « J’espère que les historiens vont fournir beaucoup plus d’effort pour écrire des manières définitive cette histoire là, parce que il ya beaucoup plus d’anecdotes que d’histoire c’est pour ça a un moment donné j’ai mis histoire avec  « S » à histoire  et Conakry qui se raconte comme jamais ». Il ajoute : «  je souhaite que tous les matins quand on se réveille, qu’on se souvient qu’on est à Conakry et qu’on prend le plaisir de dire je suis Conakry et en se couchant également qu’on se dit je suis Conakry. Ceci nous permettrait de garder la flamme de Conakry, capitale mondiale du livre jusqu’en début d’année prochaine. Si c’est un vœu je le formule, c’est aussi un souhait, en ce qui nous concernent nous feront de notre mieux pour que cette flamme ne s’éteigne  pas et que même après 2018 que Conakry reste la capitale mondiale du livre. »

 

Moussa Moise Keita

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