Tout le gotha parisien du roman historique s’est donné rendez-vous hier au 23 rue Sévigné
très précisément dans le village Saint Paul (au troisième Arrondissement) de Paris. C’est le
Splendide Musée Carnavelet qui a accueilli ce beau monde. Ce musée privé regorge les
pièces rares du patrimoine historique français. Pour preuve, dans la cour, un monument
géant de Louis VI veuille sur les lieux comme pour montrer au nouveau venu, qu’ici, les
symboles de l’histoire de la France sont omniprésents.

C’est aussi à cet endroit mythique que les banquiers de la grande Banque Palatine
ont déroulé un tapis rouge remarquable à l’écrivain Guinéen Tierno Monenembo, qui a
officiellement reçu dans la pure tradition française, le prix Palatine pour son roman « le
terroriste Noir »

D’ailleurs, cette Banque d’investissement a également acheté trois cent exemplaires pour
une opération de promotion de l’ouvrage dans la presse, en librairie, un bandeau a été
réalisé également noué autour du livre, distribué aux meilleurs clients de la banque, et qui
ont sollicité la signature de l’auteur.

Le grand journaliste Littéraire Daniel Picouly, des télévisions françaises était le maître
de cette cérémonie exceptionnelle. Trois discours succincts ont ponctué cette rencontre
du beau et du bien au service des mots et de la langue, tout simplement au service de la
nourriture spirituelle!

C’est dans cette optique qu’Irène Frain, a exprimé tout le plaisir qu’elle a eu, ainsi
que l’ensemble du jury, à lire ce livre. « Formidable et terrible » écrit, dans une
langue « époustouflante »

Heureux de cette belle œuvre littéraire, Daniel Picouly, dont le père a été un « modeste
résistant noir du côté de Nevers » exprimera aussi sa satisfaction d’avoir lu ce livre d’une
trame fascinante.

Ainsi la dernière intervention reviendra à Monenembo, qui exprimera dans une émotion
contenue les deux facettes de l’exil, qui l’amenèrent à quitter cette terre mère qui lui donna
le « jour et la nuit » et non sans s’appesantir sur l’exil des écrivains de la trempe de Victor
Hugo, avant d’évoquer le hasard qui l’amena à s’intéresser à l’histoire d’Addi bah, suite à la
lecture d’un magazine français de l’époque « l’Evènement du jeudi »

Ce fut une très belle soirée, dans un cadre somptueux. Mais, au de-là, les banquiers qui
aiment bien ce roman « Le terroriste Noir » ont allié l’agrément des lieux à un hommage
exceptionnel, car, la présence de Tierno Monenembo, a été essentielle pour la manifestation
de ce qu’il représente dans le monde des lettres et de ce que porte « d’exemplaire son
œuvre en général et ce roman en particulier »

Par ailleurs, Monsieur ISHIGAMI KENJI, traducteur japonais du roman « le Roi de Kahel,
Peuls et le terroriste noir » en langue Japonaise a spécialement fait le déplacement de
Paris, pour assister à cet évènement et lui remettre ses ouvrages traduits en japonais par
les éditions GENDAIKIKAKUSHITSU. Par la même occasion, « Le roi du Kahel » traduit en
langue arabe lui a été présenté.

Toute chose qui éveilla l’émoi de l’auteur qui palpait avec minutie ces ouvrages traduits
dans d’autres langues étrangères.

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