Contrairement à la coupe d’Afrique des nations de football de 2019 en Égypte avec autant d’engouement autour du Syli , la CAN en janvier prochain au Cameroun avec la participation de l’équipe guineenne fait parler moins d’elle dans la cité, autrement dit sans engouement.
Mais des explications existent sur ce passage à vide sur la marche vers la biennale du football africain. Les éliminatoires de la coupe du monde ont encore creusé un immense fossé entre ce Syli en totale perdition avec son public . Des matchs déçevants, pire le onze national dans sa poule s’est juste logé derrière la Guinée Bissau , une honte pour le football guineen.
Malheureusement nos dirigeants refusent de voir la vérité en face et en deux mois ils préfèrent dépenser 60 000 € pour un staff technique en majorité comptable de l’agonie de cette équipe nationale. Franchement cet état de fait attriste plus d’un, comment peut on vouloir faire du nouveau avec de l’ancien, eeh la Guinée ! Didier Six doit partir oui et si on voulait être cohérent dans l’esprit du changement son staff technique devrait suivre aussi . A cette allure la fumée prend déjà forme autour du Syli national en attendant l’atterrissage au pays de Paul Biya en 2022. Le faux nationaliste sortons de cela et publicitons les compétences. Le Sénégal et le Mali avec leurs entraîneurs locaux ont fait des éliminatoires sans faille pour la coupe du monde avant de lancer les signaux pour la CAN .
Est-ce le cas en Guinée ? En attendant une réponse fiable , je dis tout simplement ce que Dieu n’a pas pu faire , c’est n’est pas aux anges de le réussir.
Mathé Bah