L’inauguration de cette fourrière nationale  a été faite ce mercredi 12 Septembre 2018 par le ministre de la sécurité et de la protection civile. Elle est  Située à bonfi dans la commune de Matam, la fourrière nationale  a une capacité d’accueil d’environ 150 à 200 véhicules,  elle est battue sur une superficie de 3235 mètres carrés, 3129 mètres couverts en béton armé  et une épaisseur  105,11 de surface bâtie composée de 4 bureaux, une toilette interne deux bureaux externes, une salle d’accueil et une terrasse. Elle a été construite grâce à une aide financière de l’ambassade des États-Unis en Guinée.

Pour  Babacar Sarr  contrôleur général de  la police routière a souligné : « Ce fourrier va nous permettre d’interpeller les véhicules et d’immobiliser les pannes  de  véhicules abandonnés  le long des routes… l’anarchie étant installé  d’où cette fourrière va nous permettre de diminuer  le nombre d’accidents et l’indiscipline notoire.»

Dans la même logique, le ministre de la sécurité et de la protection civile a affirmé qu’avec cette fourrière si la police joue bien son rôle, il n’y aura aucun dérapage dans la circulation « cette fourrière si elle est vraiment suivie de fait, si la police routière sanctionne, verbalise, les contrevenants au code de la route, je crois que  l’ordre et la fluidité peuvent être obtenus dans la circulation routière, ça c’est tout de suite,» déclare Alpha Ibrahima Keira.

Loin, il dira que « la direction de la police routière est une régie de recette, ce que les contrevenants vont payer ne doivent pas aller dans la caisse de l’État ça doit aller dans la caisse du trésor public c’est pour dire que la police contribue à apporter les ressources nécessaires à l’État pour le financement des projets de développement sociaux économique.»

La cérémonie d’inauguration s’est clôturée par la remise des clés  de deux grues mobiles qui serviront cette fourrière et la visite  du commissariat urbain de Bonfi qui vient d’être inauguré.