L’appel de l’opposition Républicaine à l’observation de deux jours de ville-morte dans les cinq communes de la capitale, des violences ont éclatées par endroit entre forces de l’ordre et jeune manifestant dans la ville de Conakry notamment dans la haute banlieue de la capitale. Ces violences ont malheureusement enregistrées un mort par balle à Koloma dans l’après midi de ce Mardi 16 Octobre 2018. Un jeune du nom de Ibrahima Bah, élève en 9eme année a trouvé la mort des suites d’un tire à balle réelle qui lui a été fatale. Interrogé sur cet autre drame provoqué par les multiples manifestations de l’opposition, l’honorable Amadou Damaro estime que ville-morte ne signifie pas violence.
Ce mardi rencontré par notre rédaction sur cette actualité, ce responsable de la mouvance trouve regrettable la mort de ce jeune homme
« S’il y a eu mort, c’est toujours un mort de trop et je le regrette, ça n’allait pas du parce que ville-morte ne veut pas dire brûler les pneus, ne veut pas dire jeter les cailloux sur les passants, ne veut pas dire empêche les autres qui veulent aller au travail. C’est ça la contradiction ? L’axe Bambéto est impraticable pour une ville-morte il n’est pas dit que personne ne doit aller au travail. Ceux qui adhérent à ça, non seulement ils ne vont pas au travail, mais ils empêchent les autre d’y aller et cassent leurs biens». Souligne Amadou Damaro.
A signaler que le corps du jeune qui a trouvé la mort a été transporté à la morgue de Donka par la croix rouge.