Cette unité qui a en son sein huit centrales syndicales à savoir : ONSLG-COSATREG-CGSL-UGTG-UDTG-UNTG-CGFOG a exprimé sa vive reconnaissance envers le bureau du Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée.
Elle l’a fait dans une déclaration rendue publique ce lundi 5 mars 2018 à la maison de la presse à Coléah.
« Considérant l’implication personnelle de son excellence, Monsieur le Ministre d’État, conseiller personnel du chef de l’État. Vu l’indifférence coupable des institutions de la république, les centrales ONSLG-COSATREG-CGSL-UGTG-UDTG-UNTG-CGFOG Condamnent avec la dernière énergie, les velléités de récupération de la portée sociale de la plate forme revendicative du SLECG, par des cadres et leaders syndicaux indument présent dans la salle de négociation. Partagent toutes les peines des élèves et leurs parent que nous sommes tous. Réaffirme sa solidarité agissante et sa vive reconnaissance au nouveau bureau exécutif su SLECG qui du reste, porte toutes les aspirations, attentes et toutes la détermination de tous les enseignants indépendants de leurs de leurs affiliations.»
Dans cette déclaration, ces responsables syndicaux ont salué les négociations entamées la semaine dernière pour une sortie de crise rapide dans le secteur éducatif guinéen.
Sur ce, ils demandent au président de la république de remanier son gouvernement sur place, «Nous Saluons le début d’apaisement suscité par la rencontre entre le chef de l’État et le nouveau bureau exécutif national du SLECG ayant abouti à l’ouverture des négociations avec les vrais représentants du SLECG dont nul ne s’aurai mettre en cause l’issue finale par des manœuvres dilatoires et menaçantes. Nous demandons au gouvernement de sauver l’école guinéenne avant d’en tirer toutes les conséquences. Nous exigeons une inspection financière à la caisse nationale de sécurité sociale sur sa gestion des 6 dernières années et la prise en charge effective des travailleurs qui y cotisent. Fustigeons le comportement démagogique de certaines ONG, association, patronat et de leurs leaders dont le seul motif réel est de trouver une place au soleil. Demandons un remaniement imitant du gouvernement afin d’amorcer une nouvelle aire de confiance dans une Guinée solidaire et prospère. Rendons responsable en tout état de cause les centrales syndicales CNTG et USTG, le premier Ministre, le Ministre du Travail, le Ministre de l’éducation nationale et la SFPE de la situation actuelle et de toute la tournure que prendrai les présentes négociations. »