Plusieurs citoyens de Kindia se livrent aujourd’hui à la vente des aliments non protégés. Cette pratique ce fait au vu et au su de tout le monde et les autorités locales tardent à prendre des mesures visant à l’interdire.
Selon les médecins, la vente des aliments non protégés est l’une des causes de la propagation des maladies comme la diarrhée et le cholera.
Face à cette situation, le président de la délégation spéciale de Kindia, Abdoulaye Bah affirme que les autorités sur place vont se réunir très prochainement pour discuter sur la mise en place des mesures appropriées visant à mettre fin à cette pratique.
Pourtant, les questions d’hygiène alimentaire à cette période hivernale se posent avec acuité.
Les produits qui ne font pas l’objet de nettoyage avec de l’eau ne doivent pas être exposés.
Pour le président de la délégation spéciale de Kindia Le client a droit à un produit propre et présentable.
« Si chacun œuvre dans le sens de la propriété individuelle à travers la ville, nous allons avoir une ville propre et saine ».
Sur le terrain, les agents de service de salubrité sont absents sur le terrain. La situation va de mal en pis
En attendant qu’une solution soit trouvée, la situation nutritionnelle demeure toujours préoccupante dans la ville des agrumes.