Le 26 septembre de chaque année, l’humanité célèbre la journée mondiale de la contraception. Cette journée a pour objectif de réduire le nombre de grossesse non désirée dans le monde. Elle est soutenue par de nombreuses organisations non-gouvernementales dans différents pays du monde.
En célébrant cette journée en Guinée, les autorités de la santé et celles de l’action sociale ont voulu mettre la lumière sur les progrès qui ont été réalisés dans le cadre de la contraception depuis que l’Etat guinéen se bat pour l’amélioration des conditions de vie des femmes en limitant les naissances.
Selon le constat qui se dégage sur le terrain, de nombreuses méthodes contraceptives existent de nos jours dans le pays. Ce qui permet justement aux femmes de faire le choix qui leurs conviennent dans cette pratique. Ces types de contraception sont entre autres, des implants aches anneaux vaginaux.
Alors qu’il existe ces dispositifs, les nations unies indiquent que 80 millions de grossesse non désirée sont enregistrées chaque année dont un quart des avortements de fortunes entrainant près de 70 mille décès.
Une situation qui concerne également certains pays développés ou la moitié des grossesses sont accidentelles dont un tiers déboucherait sur un avortement indiquent toujours les nations unies.
La journée mondiale de la contraception s’adresse avant tout aux plus jeunes. Une couche dont un quart de jeunes de 15 à 24 ans entretient des relations sexuelles sans contraception.
Selon les données disponibles, plus de 28 mille avortements ont lieu chez des filles de moins de 18 ans en France .Ainsi, une information plus complète permettrait à nombre d’adolescents de ne pas devenir des parents uniquement par hasard.