La Fédération Guinéenne des Parents d’Elèves, Etudiants et Amis de l’Ecole invite les parents d’élève à garder leurs enfants à la maison jusqu’à la fin de la crise qui secoue le système éducatif ces derniers moments. C’est dans une déclaration rendu public ce jeudi 23 novembre au lycée 1er mars dans la commune de Matam que la présidente de cette association Adama Sow a regretté la mort de deux élèves suite a cette grève par les agents de force de l’ordre.
La FEGUIPAE demande qu’une enquête soit ouverte pour situer les responsabilités dans cette situation qu’elle condamne avec la plus grande fermentée.
C’est le lycée 1er Mars qui a servit de cadre à la lecture de cette déclaration en présence de certains membres du bureau exécutif que la présidente de cette association Adama Sow a lu la déclaration.
« C’est avec amertume et désolation que nous avions contrasté que cette grève se prononce et jusqu’à causée des pertes en vie humaine et causée des dégâts matériels importants et surtout nous regrettons ce viol perpète sur une mineur de 10 ans et que l’auteur soit un enseignant qui a mandat au_ delà de la formation de former cette élève et de l’a protégée » déclare-t-elle
La fédération guinéenne des parents d’élèves, étudiants et amis de l’école condamne le cas du mineur de 10 ans violée par son maitre, mais aussi sur les cas de morts enregistré et demande qu’une enquête soit ouverte
« Un acte que nous condamnons avec la dernière énergie et demandons que l’auteur soit sanctionné a la hauteur de sa forfaiture et demandons aussi qu’une enquête soit ouverte pour situer la responsabilité sur les cas de morts survenu lors de cette crise car une vie perdue est de trop » regrette Adama Sow, plus loin la FEGUIPAE invite les acteurs du secteur au dialogue pour une sortie de crise.
« La FEGUIPAE pour un esprit d’apaisement invite les syndicalistes à conjuguer le même verbe pour que l’Etat trouve un interlocuteur pour une sortie de crise. Au gouvernement, d’être ouvert au dialogue dans l’intérêt supérieur de la nation, aux institutions républicaines et internationales, aux confessions religieuses et à la société civile de s’impliquer ardemment pour la résolution de cette crise » lance Adama Sow avant de conclure pour inviter les parents d’élève à sensibiliser leurs enfants aux calmes et à la retenue mais surtout de les gardés à la maison jusqu’à la fin de la crise.