Le traité sur les interprétations et exécutions audiovisuelles signé à Beijing en juillet 2016 vient d’être adopté par l’Assemblée nationale. Il adapte à l’aide numérique la protection des chanteurs, musiciens, danseurs et acteurs de cinéma.

Pour le rapporteur de la commission information, communication, arts et culture de l’Assemblée nationale, honorable Saïkou Yaya Barry, le traité de Beijing donne force aux artistes et interprètes ou exécutants quatre types de droits patrimoniaux sur leur interprétation ou exécution fixé sur la fixation audiovisuels : « La distribution, le droit de location et le droit de mise à disposition. »
Selon le député, le même traité comprend des droits moraux qui sont entre autres, le droit d’exiger d’être mentionné lorsque son morceau, son mode d’utilisation, de l’interprétation et l’exécution imposent l’émission de cette mention.
Le droit de s’opposer à toute déformation, mutilation ou autres modifications préjudiciables à leur exécutassions compte tenu de la nature des supports audiovisuels.

Ce traité couvre les interprétations et exécutions des acteurs des différents médias ainsi que les interprétations des musiciens enregistrées sur DVD ou toute autre plate forme audiovisuelle.

Par ailleurs, à l’image de l’initiative des dirigeants de la CEDEAO, les chefs d’États et des gouvernements africains se sont également penchés sur la question du cyber sécurité.

Selon toujours
honorable Saïkou Yaya Barry, cette convention permettrait aux États africains d’avoir les mêmes politiques, les mêmes stratégies, les mêmes règles et atouts en matière de cyber sécurité qui serait de nature à rendre efficace le combat contre la cybercriminalité.

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